Josiah Conder a exprimé sa réponse à la réalité de l’élection en ces termes :
Ce n’est pas moi qui t’ai choisi,1
Car, Seigneur, cela était impossible;
Ce cœur te refuserait encore,
Si tu ne m’avais pas choisi.
Du péché qui me souillait,
Tu m’as purifié et libéré;
Depuis toujours, tu as décrété,
Que je vive pour toi.
4 Nous savons, frères bien-aimés de Dieu, que vous avez été élus;